• Publié dans "Economie Commerce" et mis en ligne le jeudi 9 octobre 2014 à 18h31

    Véronique nous écrit : "Chère Gazette. Depuis quelques semaines, en allant chercher mon pain à la boulangerie de la route de Coulonges, je constate que des nouveaux locaux sont en cours d'aménagement en face du Magazinc. Pouvez-vous me dire ce qu'il en est ?" Voici, chère Véronique, la réponse à votre interrogation.

    C'est un magasin de fleurs naturelles et de plantes en pot qui va s'installer dans les locaux précédemment occupés par un salon de toilettage pour chiens. Les travaux d'aménagement et d'agrandissement sont bien avancés. L'ouverture est prévue vers le 15 novembre. 

    C'est un véritable professionnel de la plante et de la fleur, et presqu'un voisin, qui s'installe chez nous puisqu'il s'agit de la société "PHILIPPE-FLEURS" installée dans le bourg de Sciecq, tout près du château d'eau. Créée en 1968, cette entreprise familiale exerce son activité dans le domaine la vente en gros de fleurs naturelles, de feuillages naturels, de compositions florales, de plantes en pot et de matériel et fournitures pour fleuristes (mousse, cellophane, sécateurs, ciseaux…). La société enregistre un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 1,3 millions d'euros.

    Jean-Pierre Philippe, fils du créateur de l'entreprise, a pris les rênes de la société en 1996. Son épouse, Béatrice, et ses deux fils, Julien et Romain, travaillent à ses côtés. Et c'est sous l'enseigne "BJR FLEURS", dont le lettres reprennent les initiales des prénoms de ses proches (Béatrice, Julien et Romain), que Jean-Pierre Philippe va ouvrir route de Coulonges son premier magasin de vente au détail.

    Cette nouvelle enseigne vient utilement compléter la gamme des différents commerces déjà installés dans la zone commerciale de la route de Coulonges.

    La Gazette souhaite bonne chance et pleine réussite à "BJR FLEURS".

    Georges Duroy


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  • Publié dans "Economie Commerce" et mis en ligne le jeudi 12 juin 2014 à 19h14

    Les lecteurs de La Gazette connaissent bien l'histoire ! Souvenez-vous, nous vous avons déjà parlé du Géromyne, le bar, tabac, presse qui a fermé en février dernier au cœur du bourg de Sainte-Pezenne. C’est avec un peu de tristesse d’ailleurs, qu’on a vu le dernier commerce du bourg tirer sa révérence… mais pas définitivement ! [retrouvez notre article du 23 janvier 2014 en cliquant ici]

    GERomyneLe 27 mars dernier, la même enseigne, avec les mêmes personnes, a de nouveau ouvert ses portes route de Coulonges, à côté du supermarché Netto. La formule reste inchangée. Véronique et Gérard Rouzic vous accueillent tous les jours de 7h00 à 19h30, du lundi au samedi. Vous pourrez vous arrêter facilement (un parking privé est à disposition), qui pour acheter un paquet de cigarettes, qui pour se rafraîchir le gosier devant une boisson, qui pour rêver à être le prochain millionnaire du Loto ou du PMU… ou encore pour acheter son journal ou son magazine préféré. Mais pas que… Avec une terrasse en bois surélevée, vous pourrez profiter des premiers rayons du soleil de juin…

    Voilà donc que renaît de ses cendres un de ces commerces de proximité auxquels nous sommes particulièrement attachés parce que ces lieux créent du lien social. Ce sont des endroits, où l’on se rencontre et où l'on échange. Ce sont ces lieux de rencontre, ce sont ces commerces de proximité, qui forgent l'âme d'un quartier.

    GERomyneVéronique et Gérard comptent bien sur ce nouvel emplacement pour continuer à recevoir une clientèle plus nombreuse. Le lieu est très accueillant. Il sent bon la peinture fraîche. Nous ne pouvons que vous conseiller de rendre une petite visite au Géromyne, histoire de profiter de la décoration aux tendances marines (Véronique et Gérard sont bretons…, personne n’est parfait !), dans un espace de vie clair et franchement accueillant.

    Nous souhaitons une pleine réussite à Véronique et Gérard qui, comme le phénix, ont permis à un commerce de renaître, juste un petit peu plus loin qu’avant.

    Au fait, savez-vous ce qui se cache derrière le nom GEROMYNE ? Aucun lien avec un indien Apache célèbre. Non, le GEROMYNE est tout simplement l'acronyme des prénoms des membres de la famille : GE pour Gérard, RO pour Véronique, MY pour Jérémy et NE pour Justine. Voilà, vous savez tout ! 

    Didier Torossian

    Photos DT. Cliquer dessus pour agrandir


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  • Publié dans "Economie Commerce" et mis en ligne le jeudi 23 janvier 2014 à 18h01

    Au début du siècle dernier, le village de Sainte-Pezenne ne compte pas moins de trois cafés. Aujourd'hui un seul subsiste, le bar-tabac-loto-presse-PMU "Le Géromyne" situé en plein coeur du bourg au numéro 3 de la rue de la Routière et dont la devanture jaune et verte est bien connue des Pexinois.

    Du Café Reix au Géromyne

    C'est dans ce lieu que s'installe au tout début des années 1900 le Cafetier Reix, juste en face du pressoir à huile de M. Poulard et à côté du maréchal-ferrand M. Roulleau. En 1923 le café est vendu à M. et Mme Passebon dont le fils Léonce et sa jeune épouse Léa reprennent l'affaire en 1935. Les années de guerre sont difficiles : Léonce est fait prisonnier et est retenu 5 ans en Allemagne, Léa reste seule et accueille dans son établissement déserté les réfugiés qui fuient les combats.

    Du Café Reix au GéromyneLes affaires reprennent après la Libération et c'est au garde-champêtre de l'époque que revient l'idée de rebaptiser l'établissement : le "Café Passebon" devient alors "Au Vin Sans Eau". Tout un programme et une sacrée promesse ! Sur l'enseigne accrochée au dessus de la porte d'entrée, le nom de l'établissement est retranscrit avec malice sous la forme de 2 nombres encadrés  par la lettre "O". "Au Vin Sans Eau" devient "O-20-100-O". C'est sous ce nom que le café va prospérer. On y célèbre noces et banquets et Lea n'a pas sa pareille, dit-on, pour préparer la soupe à l'oignon ! Et puis c'est le siège de la Société de Football, on s'y retrouve après le match, on y boit (ou plus exactement on se désaltère !) et on y chante, fort et tard dans la soirée (du moins quand Ste-Pezenne gagne !).

    Puis c'est au tour d'Yvette, la fille de Léonce et de Léa, de reprendre le flambeau familial avec son mari Michel Juchault. Il y restent jusqu'en 1987. Yvette cède alors le droit au bail à Line et Michel Raud mais conserve la propriété des murs. Puis se succédent à partir de 1999 les époux Kopp puis Véronique et Gérard Rouzic, les actuels cafetiers.

    Véronique et Gérard Rouzic ont décidé de ne pas renouveler le bail qui arrive bientôt à échéance. Yvette Juchault cherche, quant à elle, à vendre son immeuble. La licence, attachée à l'établissement, va être déplacée. Le dernier commerce du vieux bourg va malheureusement baisser à son tour ses rideaux. Clap de fin, fin de l'histoire, fin d'une époque !

    Du Café Reix au GéromyneMais que va devenir le Licence IV si précieuse ? Elle n'est pas perdue. Elle ne va pas, et ne peut pas, trop s'éloigner. Comme le boulanger de Ste-Pezenne avant eux, Véronique et Gérard Rouzic ont décidé de s'installer route de Coulonges, là où le passage est le plus important et où le potentiel de développement est le plus fort. Le dévolu a été jeté sur l'immeuble qui jouxte le magasin Netto, en face du garage Renault, là ou étaient précédemment installées les cuisines Guérin. Les travaux d'aménagement doivent commencer très prochainement.

    Même si la Gazette regrette le départ du dernier commerçant de notre vieux bourg, nous souhaitons pleine réussite à Véronique et Gérard Rouzic.

    Georges Duroy

    Crédit photo O20100O : wiki-niort.fr 


    3 commentaires
  • Mis en ligne le jeudi 2 janvier 2014 à 18h44

    Le "kébab", mot d'origine turque, désigne à l'origine une viande grillée et, par extension, les différents plats à base de viande grillée que l'on sert dans les pays du pourtour méditerranéen.  Ce que l'on appelle en France le kebab est en fait le "döner kebab". Il s'agit d'une galette de pain ou d'un sandwich composé de viande grillée à la broche, découpée en fines lamelles et servie dans du pain avec des crudités, des frites et une sauce. Le terme "kebab" désigne également le lieu ou sont confectionnés et vendus les "döner kebab".

    C'est ce type d'établissement, un des rares de Niort et le premier de notre quartier, qui va ouvrir ses portes à la fin du mois de janvier, au numéro 176 de l'avenue de Lattre (au niveau du rond-point qui dessert l'avenue de Nantes et la route de Coulonges) là précisément où était installée la boulangerie l'Epi qui a fermé ses portes il y quelques mois seulement. 

     

    Un kébab dans le quartier

    Le KEBAB DELICE, car c'est ainsi qu'il s'appellera, proposera, outre les traditionnels "döner kebab", du couscous et des tajines à emporter. Ces plats seront préparés par la propriétaire des lieux, Fatima Renaud, qui a quitté son Maroc natal il y a quatre ans en emportant avec elles les savoureuses recettes de son pays.

    Les prix seront, nous promet-on, raisonnables. Ainsi,  pour un "döner kebab" avec frites, salade, tomate, oignon et sa fameuse sauce blanche au sésame, le tout accompagné d'un Coca-Cola, il ne vous en coûtera que 5,50 €.

    La Gazette souhaite beaucoup de succès au KEBAB DELICE qui sera ouvert du lundi au samedi de 11h30 à 24h00 sans interruption. 

    Georges Duroy


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  • Mis en ligne le jeudi 21 novembre 2013 à 18h03

    C'est une ouverture que la Gazette vous a annoncée, en premier, dès le 12 août (cf l'article en cliquant ici). C'est maintenant chose faite. Rappelons que cette nouvelle poissonnerie est située route de Coulonges, derrière la boulangerie et en face du magasin "Les Plaisirs Fermiers". Claudie Terrasson et Joël Prunier vous y accueillent tous les jours, du mardi au samedi. Vous y trouverez poissons, coquillages et crustacés ainsi que des plats cuisinés élaborés à partir des produits de la mer.

    Georges Duroy


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