• L'Agenda Pexinois est publié en début de mois (ou en fin de mois pour le mois suivant) et est mis régulièrement à jour en fonction de l'actualité. N'hésitez pas à consulter régulièrement l'agenda du mois via la rubrique "Agenda" et pensez à nous communiquer les dates et natures de vos manifestations

    Vendredi 4 mars (de 16h00 à 20h00), samedi 5 mars (de 9h00 à 13h00) : Journées Portes Ouvertes au Lycée Horticole Gaston Chaissac 120 route de Coulonges.

    Vendredi 11 mars  : Théâtre - Les Baladins de Ste-Pezenne jouent "Drôle de salade à la cuisine". Première représentation à 20h30 à la Salle des Fêtes de Ste-Pezenne.  Le prix de la place est de 9€ (tarif réduit à 7€, gratuit  pour les enfants de moins de 12 ans). Réservation par téléphone au 07 85 22 84 77 ou par courriel à lesbaladins79@hotmail.fr

    Samedi 12 mars : Théâtre - Les Baladins de Ste-Pezenne jouent "Drôle de salade à la cuisine" Deuxième représentation à 20h30 à la Salle des Fêtes de Ste-Pezenne.

    Dimanche 13 mars  : Théâtre - Les Baladins de Ste-Pezenne jouent "Drôle de salade à la cuisine". Troisième représentation à 15h00 à la Salle des Fêtes de Ste-Pezenne. 

    Jeudi 17 mars : Théâtre - Les Baladins de Ste-Pezenne jouent "Drôle de salade à la cuisine". Quatrième représentation à 20h30 à la Salle des Fêtes de Ste Pezenne.

    Vendredi 18 mars : Théâtre - Les Baladins de Ste-Pezenne jouent "Drôle de salade à la cuisine". Cinquième représentation à 20h30 à la Salle des Fêtes de Ste-Pezenne.

    Samedi 19 mars : Théâtre - Les Baladins de Ste-Pezenne jouent "Drôle de salade à la cuisine". Sixième représentation à 20h30 à la Salle des Fêtes de Ste-Pezenne .

    Dimanche 20 mars : Théâtre - Les Baladins de Ste-Pezenne jouent "Drôle de salade à la cuisine". Septième et dernière représentation à 15h00 à la salle des Fêtes de Ste-Pezenne.

    Samedi 26 mars : Assemblée Générale du CAP (Comité d'Animation Pexinois) à 18h30 la Maison des Associations. 

    Mardi 29 mars  : Conseil de Quartier - Réunion publique du Conseil de Quartier, de 20h00 à 22h30 dans la grande salle de la Maison des Associations. 

     


    votre commentaire
  • Publié dans "Cadre de vie" et mis en ligne le jeudi 18 février  à 16h04

    Mardi 9 février, 20h30, Grande Salle de la Maison des Associations. Il sont plus de 40 riverains de la rue de Grange a avoir répondu à l'invitation de la ville de Niort. Pour les accueillir, Dominique Six, adjoint au maire en charge de la voirie et de la mobilité urbaine, Elmano Martins, conseiller municipal et co-président de notre conseil de quartier, Fabrice Dartayet (ville de Niort - direction des espaces publics) et Sabrina Volet (ville de Niort - service de la vie participative). Une nouvelle fois la question de la circulation et de la sécurité rue de Grange est à l'ordre du jour, mais avec une solution à la clé. Retour.

    Rue de Grange, un début de solutionRappelons que la rue de Grange part du rond-point des Combattants d'Indochine, passe sous le pont de la rocade et débouche sur la route de Coulonges. La rue de Grange est longue, étroite, encombrée, fréquentée, sans trottoir et à double sens sur la plus grande partie de son parcours. Depuis des années les riverains s'inquiètent de leur exposition à une circulation dense et à une vitesse excessive.

    Les interventions des riverains auprès de l'ancienne municipalité n'ont pas été couronnées de succès. Le conseil de quartier de l'époque n'a pas été en mesure de faire avancer le dossier. En 2014, profitant de l'arrivée d'une nouvelle municipalité, le collectif des riverains adresse une pétition au maire. Interrogé par nos soins, Olivier Bouju, membre du collectif et parallèlement membre du nouveau conseil de quartier, précise à la Gazette: "Saisie du dossier, la mairie est intervenue immédiatement et à plusieurs reprises auprès des riverains pour instruire notre demande, recenser les avis des habitants et proposer des solutions techniques".

    En novembre 2014 la ville fait procéder à des comptages qui mettent en évidence, à l'inverse du ressenti des riverains, un trafic très faible et des vitesses très basses. Pour la ville, "le sentiment d'insécurité ne provient ni de la nature du trafic, ni des vitesses pratiquées, mais plutôt des emprises très réduites et de l'absence de trottoir ; les piétons se retrouvent sur la chaussée, sans protection, et les riverains n'ont pas la visibilité suffisante pour sortir leurs véhicules de leurs propriétés".

    Rue de Grange, un début de solution

    A la lumière de ce constat, les parties prenantes se mettent au travail et font émerger trois objectifs principaux validés au fur et à mesure des réunions collégiales :
    - mise en sécurité des piétons,
    - circulation automobile à sens unique à partir de la route de Coulonges,
    - maintien de la circulation à double sens pour les cyclistes.

    Pour répondre à ces trois objectifs, la ville propose, in fine, ce mardi 9 février, la création d'un couloir à sens unique encadré par deux trottoirs, l'un, d'une largeur de 1,50 m (norme applicable), l'autre, d'une largeur résiduelle selon le reliquat de chaussée. Cette solution conduit, certes à la suppression de quelques places de stationnement dans les portions les plus étroites de la voie, mais présente l'avantage de sécuriser tant le cheminement des piétons que l'accès à la rue des véhicules sortant des propriétés riveraines.

    Rue de Grange, un début de solution

    La proposition recueille l'assentiment général des participants. Elle va être développée en deux phases. La première, qui fera figure de test, sera déployée dans le courant du deuxième semestre. Elle consistera en un simple marquage au sol et en l'installation de plots en plastique. La seconde, pérenne et plus onéreuse (de l'ordre de 365 000 €), verra la construction de véritables trottoirs. Elle sera mise en oeuvre ultérieurement au regard des enseignements tirés de la phase test et en fonction des contraintes budgétaires de la ville.

    Pour Olivier Bouju : "Notre dossier a pu évoluer favorablement parce la ville nous a accordé une oreille attentive, parce que la mobilisation des riverains a été forte et constante et aussi parce que nous avons bénéficié du soutien et de l'appui du conseil de quartier".

    Reste maintenant à la ville à se pencher sur l'autre dossier important de notre quartier et qui a également trait à la sécurité des personnes. Il s'agit de la création d'un cheminement piétonnier le long de la rue de la Routière. Nous y reviendrons.

     Georges Duroy


    1 commentaire
  • Publié dans "Loisirs culture" et mis en ligne le jeudi 11 février 2016 à 16h28

    Dimanche 7 février, dernière des 7 représentations de "L'amour sur un plateau", la pièce d'Isabelle Mergault que la troupe "Les Tréteaux de Ste-Pezenne" a décidé d'offrir cette année à son public. La Gazette y était. Retour.

    En ce début d'après-midi d'hiver, le temps est maussade à l'extérieur mais il fait chaud, très chaud, à l'intérieur de notre Salle des Fêtes qui a pris, pour l'occasion, les habits d'un petit théâtre. Une nouvelle fois les Tréteaux s'apprêtent à jouer à guichet fermé (les réservations sont allées bon train, elles sont closes depuis plusieurs jours). Autour des sièges parfaitement alignés et numérotés, (mais quand même un peu serrés), on se presse, on se hèle, on se reconnaît, on se retrouve, on se déplace, on s'embrasse mais on ne regagne pas sa place. Le brouhaha couvre la musique d'ambiance. Une sonnette stridente invite les spectateurs à s'asseoir. Attention, dans un instant ça va commencer.

    Les Tréteaux sur un plateauLe fond de la salle s'éclaire, là-haut sur le balcon. Le silence se fait. Gustave apparaît sous la lumière d'un projecteur. Il entonne "La vie en rose" (chanson reprise en coeur par le public), descend l'escalier, traverse la salle et regagne la scène dont le grand rideau rouge reste fermé. Gustave, c'est le gardien, l'homme à tout faire, l'âme vive et l'incarnation de l'histoire de ce petit théâtre. Gustave côtoie les comédiens mais ne joue pas. Cependant, assure-t-il, l'an prochain il montera sur scène. Derrière ce personnage se cache Jean-Pierre Gervais, l'un des fondateurs de la troupe qui, cette année, a décidé de laisser la place à la jeune génération. Aimable clin d'oeil.

    Puis le "brigadier" frappe les 3 coups, le rideau s'ouvre, les spectateurs applaudissent, les lumières des projecteurs inondent la scène. Les rites demeurent. Les comédiens peuvent donner le meilleur d'eux-mêmes. Et le meilleur, ils vont le donner pendant deux heures.

    Les Tréteaux sur un plateauLa pièce, à six personnages (trois hommes et trois femmes), est quelque peu différente de celles auxquelles les Tréteaux nous ont habitués. Ici pas de portes qui claquent, pas de quiproquos à la chaîne, pas de rebondissements successifs, pas de mari volage, pas d'épouse vengeresse. Ces "codes" propres à la comédie de boulevard sont ici juste effleurés, ce n'est plus l'essentiel, c'est un simple argument. La mise en scène privilégie les ruptures de ton entre rires aux éclats, tendresse affleurante et émotion retenue sans n'être jamais ennuyeuse.

    Les Tréteaux sur un plateauPour la première fois les Tréteaux ont confié la mise en scène à Patrice Massé des "Ateliers du Baluchon". A ce sujet, Jean-Paul Gachignard, Président des Tréteaux, précise à la Gazette : "C'est un choix que nous avons fait. Après 23 ans d'activité "en solo", nous avons éprouvé le besoin de bénéficier du regard extérieur, de la vision personnelle et du savoir-faire d'un professionnel pour évoluer dans nos méthodes, dans nos comportements et dans notre jeu. L'apport de Patrice Massé a été, à cet effet, déterminant."

    Il est vrai que nous constatons une montée en puissance certaine des quatre comédiens déjà aguerris. Les deux nouveaux, qui brûlent les planches de Tréteaux pour la première fois, savent tenir la dragée haute à leurs glorieux et jeunes aînés. Le soin apporté aux éclairages et la qualité de l'accompagnement sonore servent, avec justesse, le déroulement de l'intrigue et le jeu des comédiens. Si une réserve peut être formulée, elle concerne l'aménagement des décors et la qualité des costumes qui auraient vraisemblablement mérité un peu plus d'attention.

    Les Tréteaux sur un plateau

    Laurence Samson, Bernard Gaborit, Matrine Huguet, Jean-Pierre Gervais, David Paitraud, Nathalie Tessier et Louis-Geoffrey Huet

    Le constat est là. Il est sans appel : une nouvelle fois la démarche des Tréteaux est couronnée de succès. La spectacle a plu, le bouche à oreille a fonctionné. Pour la première fois de son histoire, la troupe a accueilli, en sept représentations, près de 2000 spectateurs. Un beau succès amplement mérité et dont les Tréteaux peuvent légitiment s'enorgueillir.

    Georges Duroy

    Crédit photos : Jacques Bachmann


    votre commentaire
  • Publié dans "Cadre de vie" et mis en ligne le jeudi 4 février  à 16h24

    Lors de la dernière réunion de notre Conseil de Quartier, le 10 novembre dernier, Jean-Pierre Gervais, co-président "habitant" en exercice, avait claqué la porte de l'institution en mettant en cause la nouvelle politique de la municipalité qui, selon ses dires, "avait transformé les Conseils de Quartier en coquille vide". Les deux représentants du Comité d'Animation Pexinois, avaient, dans le même élan et pour les mêmes raisons, annoncé leur démission. Le siège ne sera pas resté longtemps vacant ; un co-président s'en va, un autre arrive.

    Nous venons d'apprendre, et c'est une information exclusive que nous livrons aux lecteurs de la Gazette, que Christine Armand est sur le point de relever le défi. Sa nomination sera effective lors de la prochaine réunion de notre Conseil de Quartier qui se tiendra en mars à une date qui n'est pas encore fixée. Même si, aujourd'hui, rien n'est officiel, la mairie l'a néanmoins invitée à participer, dans les prochains jours, aux travaux du "Comité de consultation et d'observation de la vie participative" en qualité de représentante de notre Conseil de Quartier. .

    Une Co-Présidente pour notre Conseil de QuartierChristine Armand, née Sené, est issue d'une vieille famille pexinoise. Elle a toujours vécu à Ste-Pezenne, au coeur de notre bourg, et a fréquenté, dans son enfance, l'Ecole Jacques Prévert. 

    Elle est très impliquée dans la vie associative de notre quartier. Elle a participé, en 1992, à la création du Comité d'Animation Pexinois (CAP) dont elle fut longtemps la secrétaire. Puis elle a rejoint la troupe de théâtre "Les Baladins de Ste-Pezenne" dont elle est une des comédiennes attitrées. Parallèlement, elle préside aux destinées de l'Union Sportive Pexinoise, notre club de foot.

    Christine Armand s'est également essayée à la vie politique locale. Lors des élections cantonales de mars 2008, elle s'est présentée, en qualité de suppléante, aux côtés de Jacques Brossard, maire de Chauray et conseiller général sortant. Jacques Brossard ne fut pas réélu.

    Dans son programme d'alors, elle défendait la mise en place de la rocade nord pour assurer la sécurité et la fluidité de la circulation au nord de la ville. Elle entendait, par ailleurs, favoriser le rayonnement de la vie associative. Ça tombe bien, la question de la circulation route de Coulonges, du fait de l'absence de rocade nord, est toujours à l'ordre du jour, la baisse des subventions municipales à la vie associative ne paraît pas de nature à favoriser le rayonnement des associations de notre quartier.

    Au sein de notre Conseil de Quartier, notre nouvelle co-présidente va pouvoir oeuvrer sur ces dossiers qui, en 2008, lui tenaient particulièrement à coeur.

    Nous souhaitons pleine réussite à Christine Armand et nous espérons, à travers son action, une nouvelle vitalité de notre Conseil de Quartier.

    Georges Duroy

     


    votre commentaire
  • Publié dans "Social" et mis en ligne le jeudi 28 janvier à 16h12

    Pour démarrer l'année du bon pied, Amandine Gibeau, la directrice de notre Centre Socio-Culturel, a eu l'heureuse l'idée de réunir les acteurs du CSC à l'occasion du temps fort qui s'est tenu le 5 janvier dernier et qui a pris la forme d'une animation ludique et stimulante. Retour :

    Le CSC en séminaire

    Cette journée, à laquelle ont pris part 18 participants (5 administrateurs, 5 salariés et 5 animateurs bénévoles), avait notamment pour objectif de "vivre un temps de valorisation à l’issue de l’évaluation intermédiaire renforcée et d'approfondir la mise en œuvre du projet social".

    En effet, la Caisse d'Allocations Familiales, qui participe largement au financement des activités à caractère social entreprises par notre CSC, a récemment procédé a une évaluation intermédiaire et approfondie des actions développées par le Centre Socio-Culturel de Ste-Pezenne.

    A la lumière de ses constats et ses investigations, la Caisse d"Allocations Familiales a décidé de maintenir sa contribution à la poursuite du "Projet Social" et à la mise en oeuvre de la "Prestation Famille" (ces actions visent, dans notre quartier, à maintenir et à développer la mixité sociale, les liens inter-générationnels et les relations parents-enfants au sein du cercle familial).  

    C'est un double motif de satisfaction. Tout d'abord, en cette période de disette budgétaire et de baisse des subventions municipales, le soutien financier de la Caisse d'Allocations Familiales permet au CSC de poursuivre son projet. Ensuite, en continuant d'accorder sa confiance, la CAF constate le respect de la convention d'objectifs conclue entre elle et le CSC et reconnaît les efforts réalisés, la réussite des actions menées et l'investissement personnel des salariés et bénévoles. 

    Le CSC en séminaire

    Comme toujours, l'aspect festif et convivial était au rendez-vous. Une centaine de photographies   suspendues dans le hall d'entrée ont rappelé aux participants les temps forts de l'année écoulée.

    Des groupes mixtes (composés d'administrateurs, de bénévoles et de salariés), ont échangé et créé des posters illustrant les idées fortes issues des échanges entre les participants. Parmi celles-là figurent principalement :

    • La participation de tous

    • Des projets : occasions de découvrir, de s’enrichir, d’apprendre

    • Hors les murs : sortir, aller vers, faire découvrir

    • La convivialité : une manière d’être qui rapproche les personnes

    • Une communication innovante : charrette, déguisements

    • Des ambiances dynamiques, colorées, joyeuses

    • Le Clos des 4 Saisons : un support pour faire vivre le quartier

    • Rencontres entre les générations

    • Agir ensemble

    Comme il se devait, le groupe a ensuite partagé un déjeuner délicieux et convivial avec l'envie évidente de revivre cette expérience faite de temps d'échanges et de partage.

    Le CSC en séminaire

    Avant la prochaine édition, laissons Amandine Gibeau, la directrice du CSC, résumer l'objectif et le résultat de la journée : "Tout au long de l'année, nous sommes dans l'action, et se "pauser" une fois par an, profiter les uns des autres, prendre le temps d'échanger, de réfléchir tous ensemble, c'est vraiment nécessaire pour ressouder les liens, relancer la dynamique à l'occasion de la nouvelle année" 

    Georges Duroy

    Crédit photos : CSC (cliquer dessus pour agrandir)


    votre commentaire