Publié dans "Autre" et mis en ligne le jeudi 3 décembre 2015 à 16h55

En cinquante ans la physionomie de Ste-Pezenne a considérablement changé. La fusion des communes de Niort et de Ste-Pezenne constitue le fait générateur d'un mouvement qui a largement modifié notre environnement. A l'origine village rural dont l'économie reposait principalement sur l'agriculture, l'élevage et les cultures maraichères, Ste-Pezenne est devenue un quartier péri-urbain.

La ville de Niort s'est étalée au détriment de la campagne pexinoise. Les champs ont laissé la place aux habitations. l'urbanisation a repoussé les agriculteurs et a pris leurs terres. Mais ces derniers ont dû, dans le même temps, agrandir leurs exploitations pour subsister. Curieux paradoxe !

En cette année du cinquantenaire de la fusion des communes de Niort et de Ste-Pezenne, il nous a semblé intéressant de nous arrêter sur le monde agricole pexinois. Que sont devenues les exploitations présentes sur notre territoire en 1965 ? Comment y vit-on aujourd'hui ? Comment y travaille-t-on ? Qui sont ces rares agriculteurs dont nous croisons encore les engins ou dont nous apercevons les troupeaux dans les champs qui bordent nos routes ? Quel est l'avenir des exploitations agricoles pexinoises ? A quelles difficultés sont-elles confrontées ?

La Gazette a demandé à Micheline Thomas-Desplebin, pexinoise de longue date et férue de ruralité, d'investiguer, de rencontrer et d'analyser afin de nous faire mieux connaître l'agriculture et les agriculteurs de Ste-Pezenne.  

Nous vous invitons aujourd'hui à découvrir le résultat de ses travaux. Pour accéder à la version imprimable du document qu'elle a remis à La Gazette, merci de cliquer ici.

La Gazette vous souhaite une agréable lecture.

Georges Duroy