• Publié dans "Loisirs Culture" et mis en ligne le jeudi 20 février 2014 à 18h50

    En 1997, Chantal Toulis, figure bien connue de notre quartier, décide de quitter l'autre troupe de théâtre de Ste-Pezenne qu'elle présidait alors (et qu'elle avait largement contribuer à créer quelques années auparavant) pour fonder Les Baladins de Ste-Pezenne avec une idée force : que tous ceux qui ont envie de monter sur scène puissent le faire. Autrement dit, la notion d'association devait prévaloir, dans cette nouvelle structure, à la notion de troupe de théâtre

    Les Baladins de Ste-Pezenne bientôt sur scèneL'analyse était bonne et le choix judicieux puisque 30 pièces plus tard, les Baladins de Ste-Pezenne sont toujours là et, année après année, leur succès ne se dément pas. Nous en voulons pour preuve la 7ème représentation que les Baladins ont ajoutée l'an passé aux 6 représentations habituelles.

    Aujourd'hui les Baladins font partie intégrante du paysage pexinois et le spectacle qu'ils présentent tous les ans en mars, et qui rassemble plus de 1000 spectateurs, constitue un moment fort de la vie de notre quartier.

     

    Les Baladins de Ste-Pezenne bientôt sur scèneCe que nous aimons chez les Baladins c'est d'abord le choix des pièces. Les Baladins font preuve d'un talent rare pour "dénicher" des comédies peu connues (dont le nom des auteurs ne figurera jamais sur le fronton des grands théâtres parisiens) mais qui cependant se révèlent être bien construites, originales et enlevées.

    Nous aimons également les décors soignés, les costumes impeccables et les textes parfaitement maîtrisés. On imagine la somme de travail que cela représente.

    Et puis nous aimons retrouver, dans la mise en scène, la "patte" de Chantal Toulis qui, à chaque fois que l'occasion lui en est offerte, éprouve un malin plaisir à soupoudrer le spectacle de musiques, danses et chansons.

    Enfin nous apprécions le verre de l'amitié qui, en fin de spectacle, permet au public et aux comédiens de deviser autour d'un verre de cidre. 

    Cette année les Baladins nous proposent "Grand-mère est amoureuse", une comédie d'Yvon Taburet dont le titre est suffisamment évocateur pour imaginer de quoi il retourne. Pas moins de 10 comédiens seront présents sur scène.

     

    Les Baladins de Ste-Pezenne bientôt sur scène

    Alors, un conseil de la Gazette : Notez bien les jours et heures des représentations et dépêchez-vous de réserver.

    Georges Duroy

    Crédit Photos : Les Baladins de Ste-Pezenne. Cliquer dessus pour agrandir


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  • Publié dans "Social" et mis en ligne le jeudi 20 février 2014 à 18h49

    Ne demandez pas à la Gazette de vous préciser ce qu'est un Choudoudou, interrogez plutôt les enfants du Centre Socio-Culturel de Ste-Pezenne. Eux ils savent !

    Un Choudoudou c'est "quelque chose qui fait chaud au cœur, qui foudroie, qui chavire… c'est quelque chose que l’on apprécie et que l’on a envie de faire durer, de garder puis de partager… c’est un sourire, un mot, une main tendue, une oreille attentive, un caillou, un moment, une émotion, une attention…"

    Cela faisait plusieurs mercredis que nos enfants imaginaient et fabriquaient leurs choudoudoux ; des choudoudoux en laine, en papier, en coton ou en tout autre matériau. Car il convenait d'être fin prêts pour l'inauguration, ce mercredi 12 février, de la 4ème Semaine niortaise de l'Amour dont la presse locale s'est largement fait l'écho.

    Mon Choudoudou tout doux

    Le jour "J" à 15h30, place de la Brêche, nos enfants, au nombre de 34, ont rejoint les autres enfants des Centres de Loisirs de la ville. Ils étaient environ 200 qui, munis de grands coeurs roses en papier, ont tracé un immense coeur comme on n'en avait jamais vu, de mémoire de géant, dans les Jardins de la Brèche ! Un coeur "si grand qu'on pouvait le voir depuis les étoiles" nous a certifié Kévin.

     

    Mon Choudoudou tout doux

    Même si la pluie, qui pourtant n'avait pas été invitée, a essayé de jouer les trouble-fêtes, ce fut en pure perte ; rien ne pouvait entamer la bonne humeur de nos enfants. Après un goûter, rose comme de bien entendu, nos chères "têtes blondes" ont repris le chemin du retour et ont entonné avec une belle énergie, dans le bus qui les ramenait à Ste-Pezenne, la chanson apprise pour l'événement "Prout, prout, prout, que je t'aime". Que dire de plus !

    Georges Duroy

    Crédit photos : CSC Ste Pezenne. Cliquer dessus pour agrandir


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  • Publié dans "Loisirs-culture" et mis en ligne le jeudi 13 février 2014 à 17h58

    Les Tréteaux viennent de clore, en ce début de mois, la série de 7 représentations de leur nouveau spectacle. La Gazette était présente à cet évènement majeur dans notre quartier. Impressions.

    Cette année les Tréteaux se sont essayés à Feydeau. La tâche n'était pas aisée car Feydeau, on le sait, devient très vite ennuyeux quand il n'est pas joué avec entrain et dynamisme. Et puis il y a 20 ans, les Tréteaux nous avaient déjà gratifiés, pour leur deuxième spectacle, d'un étrange vaudeville, le "Contrôleur des Wagons-Lits", espèce de sous-feydeau qui, avouons le, ne nous avait pas convaincus. Il faut dire, à la décharge des Tréteaux, qu'ils débutaient et qu'il n'avaient pas choisi la meilleure pièce du répertoire ! Nous attendions donc Les Tréteaux au virage, surtout après la magnifique prestation de l'an dernier, où pour la première fois, Les Tréteaux utilisaient un dispositif scénique innovant au service d'une pièce remarquablement écrite.

    Il faut d'abord saluer la qualité de l'accueil. Les places, éditées à votre nom, sont numérotées et affectées dans l'ordre d'arrivée des réservations. Vous êtes accueillis à l'entrée de la salle et conduits à votre place. Cette année, et pour la première fois, Les Tréteaux ont mis la salle en lumières. L'éclairage froid des sempiternels néons a laissé la place aux éclairages chauds de projecteurs inondant la salle de lumières rouges. Cette ambiance colorée est censée rappeler, nous a-t-il semblé, les velours rouges qui garnissent les murs des théâtres parisiens. Sur la scène, un bar, des affiches, des consommateurs qui là encore font penser au foyer-bar des théâtres. Premier bon point.

    Puis c'est la levée de rideau, ou plus exactement le mouvement du plateau tournant, qui laisse apparaître l'intérieur d'un appartement bourgeois sur le refrain de la chanson gouailleuse de Mistinguett, "il m'a vue nue", parfaitement adaptée pour introduire la première pièce de la soirée, le classique "Mais n'te promène donc pas toute nue". La pari était risqué de jouer une pièce très connue, mais grâce à l'abattage de la comédienne principale qui, tel un ouragan, emporte tout sur son passage, le pari est gagné. Le public ne s'y trompe pas. Il accompagne, rit et applaudit. Deuxième bon point.

     

    Bravo Les Tréteaux

    Après l'entracte, deuxième pièce ; "Feu la mère de Madame". Un classique du genre. En pleine nuit, à la lueur d'une bougie, Lucien rentre à pas d'heure chez lui après une soirée bien arrosée et réveille sa femme. Au moment de se coucher on lui annonce le décès de la mère d'Yvonne, son épouse. Le ressort est simple mais les Tréteaux en ont tiré le meilleur parti grâce à des décors soignés, à une interprétation exemplaire et à une mise en scène alerte et inventive mettant en exergue le moindre élément comique. La domestique s'exprime dans notre patois, le texte a manifestement été modifié pour l'occasion mais ce clin d'oeil au public pexinois est unanimement  apprécié. Lors du salut final, le public, ravi, applaudit à tout rompre. Troisième bon point.

     

    Bravo Les Tréteaux

    Vous l'avez compris, La Gazette a beaucoup apprécié ce spectacle. Interrogé par nos soins, Jean-Paul Gachignard, le metteur en scène, nous confie : "Après notre succès de l'an passé (NDLR : Spectacle "La Vérité"), nous avions quelques craintes. Comment surprendre de nouveau ? Comment plaire de nouveau ? Les retours que nous avons eus sont positifs. Le seul reproche qui a été formulé a trait à la durée du spectacle qui a globalement été trouvée un peu trop courte. Le critère de satisfaction véritablement objectif est celui du nombre de personnes accueillies. Alors que nous tournons habituellement autour de 1800 spectateurs, ce nombre a été largement dépassé cette année. A celà deux raisons, notre succès de l'an passé et le bouche à oreille entre les deux week-ends de représentations".

    La Gazette attend maintenant avec impatience le prochain spectacle des Tréteaux.

    Georges Duroy.

    Photos aimablement communiquées par les Tréteaux. Cliquer dessus pour agrandir.


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  • Publié dans "Loisirs Culture" et mis en ligne le jeudi 6 février 2014 à 18h00

    Le Comité d'Animation Péxinois (CAP) a été crée en 1992 par des parents d'élèves de l'école Jacques-Prévert. Depuis le CAP n'a cessé de se développer. Le Comité d'Animation Pexinois est surtout connu dans notre quartier à travers deux manifestations phare qui drainent un large public  ; tout d'abord le Cabaret qui est présenté tous les ans à la Salle des Fêtes à la fin du mois de novembre et, ensuite,  "Les Pexifolies" produites avec le Centre Socio-Culturel du quartier et dont la prochaine édition aura lieu le dimanche 22 juin.

    Mais le CAP, c'est bien plus que cela. Le CAP a deux vocations : d'une part créer du lien social entre les habitants du quartier à travers diverses manifestations ou activités qu'il organise (randonnées pédestres, sorties à la journée, week-ends à thèmes…) et, d'autre part, veiller à la qualité de l'environnement sur tout le territoire du quartier (aménagements urbains, circulation, voirie, espaces verts…) C'est d'ailleurs au CAP que l'on doit la création des sentiers de Ste-Pezenne qui font le bonheur de nos promeneurs. Enfin le CAP siège au sein du Conseil de Quartier où il représente et défend les intérêts collectifs des habitants du quartier de Ste-Pezenne.

    Comme toute association 1901, Le CAP tient annuellement son assemblée générale. Elle aura lieu cette année le samedi 22 février à 18h30 (accueil des participants à partir de 18h00) à la Salle des Associations place de l'ancienne mairie annexe. Cette assemblée générale est ouverte à tous ceux que la vie du quartier intéresse.

    L'Assemblée Générale sera suivie d'un repas convivial réservé aux adhérents (possibilité d'adhérer sur place ou d'y renouveler son adhésion). La participation aux frais du repas est fixée à 10 € par personne. La soirée se poursuivra dans une ambiance de karaoké. Réservation obligatoire avant le 12 février, soit par mail à sdplanchot@aol.com, soit par téléphone au 06 73 87 88 81.

    La Gazette rappelle que le montant de l'adhésion au CAP est modique au regard de la diversité des activités qui sont proposées. Ce montant est de 5 € pour une personne seule et de 10 € pour une famille.

    Georges Duroy


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  • Publié dans "Social" et mis en ligne le jeudi 30 janvier 2014 à 18h04

    Notre Centre Socio-Culturel fait peau neuveSi vous empruntez régulièrement la rue du Coteau St-Hubert, le détail ne vous aura pas échappé :  notre Centre Socio-Culturel est en travaux. Il faut dire que l'immeuble, construit en 1975, avait bien besoin d'un petit coup de "lifting". Le Conseil de Quartier, le Conseil d'Administration du Centre Socio-Culturel et la ville de Niort ont convenu que le temps était venu de rénover les lieux. La Ville de Niort, propriétaire des locaux, a donc décidé d'engager des travaux pour un montant total de l'ordre de 100 000 €. L'opération, qui a commencé en janvier, doit se poursuivre jusqu'à la fin du mois de mai.

    Ces travaux visent, d'une part, à améliorer l'isolation des locaux et, d'autre part, à agrandir les surfaces afin que le Centre puisse accomplir sa mission dans de meilleures conditions. Le préau côté nord (côte collège Rabelais) va être fermé pour créer de nouvelles salles d'activité.

    Pendant toute la durée des travaux, l'accueil et les diverses activités organisées par le Centre Socio-Culturel sont maintenues. La situation des salariés est certes moins confortable, mais les usagers n'ont pas à souffrir du déroulement des travaux.

    En revanche, il en va différemment pour les associations diverses qui ont coutume d'organiser leurs activités au sein du Centre Socio-Culturel. Soucieuse de la poursuite de la vie associative au sein de notre quartier, la ville leur a proposé un "relogement" le temps des travaux. La plupart d'entre elles ont transféré leurs activités dans les locaux municipaux de l'ancien presbytère du vieux bourg de Ste-Pezenne.

    Notre Centre Socio-Culturel fait peau neuveDonc, autant le dire, et contrairement à ce que l'on entend parfois ici ou là, le Centre Socio-Culturel n'a pas fermé ses portes pour cause de travaux. Jean-Claude Sylvestre, son président, Amandine Gibeau, sa directrice, et tous les collaborateurs sont bien présents pour vous accueillir.

    Georges Duroy 

    Photos : cliquer dessus pour agrandir


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